Écrits d’adolescence 8
Ne vois pas la nuit, Comme ton être semblable, Aime le soleil, Que tu portes en ton cœur.
Ici se raconte l'histoire de Capaulie (un individu née femme un certain jour de 1977), d'Hélix (Éducatrice de Jeunes Enfants) et de Lili (maman tout simplement)!!! Où comment s'articulent les vies et les envies de toutes en une!!!
Ne vois pas la nuit, Comme ton être semblable, Aime le soleil, Que tu portes en ton cœur.
Il revenait comme à son habitude, Par cette petite route qu’il connaissait bien. Quand soudain, nuit et brouillard, S’allièrent pour ne faire qu’un. Un mur infranchissable, Dans lequel il disparu. Pour ne laisser qu’une nuit sombre et douloureuse, Sur...
Sa mort Créature des ténèbres, Fille de Satan, Que ta honte te crève, Te réduise à néant. Monstre venimeux, Satanique enfant, Que les battements de ton cœur véreux, T’éclatent les tympans.
Comme le printemps succède à l’été, L’amour suivit l’amitié. Le soleil, Tendre et magnificent à ses heures, Enflamma ces deux êtres de bonheur. Timides aux premières lueurs, Passionnés aux rayons de midi, Ils devinrent torrides et sauvages à la nuit....
Dans la chaleur du soleil La nuit étincelait de lumières, de ci delà, un enchantement. Je voyais ce jeune couple grelottant malgré la chaleur de leurs corps enlacés. La jeune fille était d’une pâleur incomparable, ajoutant à son air angélique, la pureté...
Assis sur un banc, Ce jeune homme rêve, Il rêve d’amour. Au fond de son cœur, Se dégage une chaleur, Elle va l’embraser. Si, En maître de son cœur, En maître de votre bonheur, Tu cours l’embrasser, Lui dire la vérité.
Ces propos m’achevèrent dans l’instant, Me perdirent dans un profond néant, Haine, Amour ou bien Raison ? Je lui pardonnais cet affront. Ah ! Assassin de mon bonheur, Je t’aime, je te hais, Mais de te perdre il est l’heure, Pour toujours et à jamais.
Dans son pays là-bas, Le monde se bat, Le monde pleure, Effrayée par les canons, Orpheline pleure. Seule dans le noir cabanon, Percé de balles de fusils, Percé de poudre rougie, Effrayée par le tonnerre, Orpheline pleure. Seule, Ici reste une terre, déserte,...
Lettre A Camille Yanel, 3 ans, entonne pour sa maman, tous les matins, le même refrain : « elle est pas encore dans ton ventre ma petite sœur ? » Il faut dire qu’en ce moment, faire un enfant, ça peut faire peur ! Camille, Je ne sais pas si un jour, Tu...